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Pour continuer sa tournée des bars, Mariatotal a testé celui de Ladurée aux Champs-Élysées. Il n’y a pas que des macarons, chez Ladurée, mais un bel assortiment de pâtisseries classiques luxueusement améliorées. Et ce bar propose une jolie carte du genre, cuisinée à la sauce Ladurée. J’ai voulu essayer d’y grignoter une petite assiette et de tremper dans l’ambiance bar au décor pour le moins kitsch…

Si, à deux pas des Champs-Élysées, vous cherchez un endroit calme et apaisant pour vos rendez-vous, installez-vous sans hésitation au bar du célèbre hôtel Lancater, baptisé Le Marlène, en hommage à la star qui y séjourna trois ans à la fin des années trente. Ce bar donne sur un jardin intérieur, véritable puits de lumière au cœur de l’hôtel, entouré par des plantes luxuriantes venant des cinq continents.

… comme 110 vins au verre, pour cette belle annexe du célèbre Taillevent, en face des Caves de Taillevent. Cette table, certes cossue, on peut mieux se la permettre. Les frères Gardinier, propriétaires du Taillevent depuis janvier 2011, ont transformé l’ancien “Angle du faubourg” (l’angle du faubourg Saint-Honoré et de la rue Balzac) pour y célébrer le vin et leurs 110 crus dans une brasserie très chic.

Ceux qui ont bien connu l’Allemagne, ou même l’Autriche ou l’Alsace, doivent absolument se précipiter dans cette épicerie allemande un peu désuète qui, dans une petite surface, regorge de ces gourmandises salées et sucrées germaniques (et de quantités de bières !). Autour la saint-Nicolas, de Noël ou de Pâques, vous y trouverez des trésors pour célébrer très dignement ces fêtes qui rythment nos années.

Après Le Bon Marché et sa Grande Épicerie, les Galeries Lafayette et leur Gourmet, il ne manquait plus que le Printemps, l’adresse favorite des touristes à l’affût d’un souvenir gourmand. Le 10 janvier dernier, Printemps du Goût, exclusivement consacré à la gastronomie française, a donc ouvert ses portes aux deux derniers étages du désormais Printemps de l’Homme, à l’angle du boulevard Haussmann et de la rue du Havre. Mariatotal est immédiatement allée y fureter.

Qui ne connaît pas la plume de François Simon, pendant vingt-trois ans critique gastronomique au Figaro et surtout au Figaroscope ? C’est lui qui, dans ses critiques de restaurants, imagine qui y emmener et quelle table préférer. Mais ce n’est pas tout, bien sûr. Depuis 2016, il apparaît dans certaines chroniques estivales sur Arte, dans l’émission 28 minutes. Et le voilà qui livre ses états d’âme après une préface hilarante et provocatrice de Frédéric Beigbeder, que je vous encourage à découvrir.

Évidemment, vous pouvez avoir envie de vous offrir une bonne thalassothérapie dans ce lieu idyllique, face à l’Atlantique… mais c’est du dernier des restaurants, ouvert en septembre 2017, de Pierre Gagnaire qu’il va être question, à Châtelaillon, à dix kilomètres au sud de La Rochelle, face à l’île d’Aix. Et du plaisir d’y retrouver toutes les marottes du célèbre chef. Après le Gaya parisien, rive gauche, voici le Gaya côté ouest, en somme.

Alors, petite révision générale : pourquoi 30 recettes méritent-elles qu’on y revienne ? Ne vous y trompez pas, ces recettes fétiches demandent du soin et de l’organisation, mais elles donnent autant de plaisir à la préparation qu’à la dégustation. Faites confiance à une gourmande. Ces recettes sont vraiment délicieuses, bien qu’elles ne recueillent que peu de clics. Alors, à vos souris ou à vos tablettes !

Après le sondage lancé début août 2017, il est temps de remercier les participants, de révéler les résultats ainsi que les leçons à tirer de cette enquête. Rien n’est très simple à interpréter, bien sûr, mais voilà qui va m’aider à tenir compte des uns et des autres.

Pour changer du rappel des produits de saison, mois par mois, voici la compil des recettes d’hiver, faisant la part belle aux plus traditionnelles qui vous réconcilient avec la saison froide. Bien sûr, la plupart du temps, ce sont des plats à cuisson longue, mais ils supportent d’être réchauffés et en sont encore meilleurs la seconde fois. Cette longue liste, pourtant loin d’être exhaustive, vous laisse l’embarras du choix.

Comment réjouir votre familles, vos amis et ceux que vous aimez en cette fin d’année ? Mariatotal vous dresse une “compil” des recettes qui ont enrichi le site en 2017 et qui pourrait bien vous inspirer sans vous ruiner. Quoi qu’il en soit, je vous souhaite des chaleureuses réjouissances pour cette fin 2017. Cheers !

La tendance ne serait plus à la viande, mais je vois toujours ces commerces ouvrir autour de moi… Quitte à consommer moins de viande, peut-être suffit-il de choisir la qualité. Et pourquoi ne pas essayer les boucheries en ligne pour gagner du temps et profiter, parfois, de promotions ? Ma cuisine et mon congélateur sont malheureusement trop petits pour stocker de grandes quantités, mais, avant d’essayer tout de même, je me suis attachée à passer les différents sites au crible.

Mais qu’est-ce qui fait courir Alain Ducasse ? C’est qu’a tenté de nous expliquer le réalisateur du documentaire sorti le 11 octobre dernier, Gilles de Maistre, qui a suivi ce géant de la gastronomie pendant deux ans. Il a convaincu Alain Ducasse de se laisser filmer dans entre restaurants, producteurs, avions et visites de chantiers.
Ce documentaire, comme c’est souvent le cas pour ce genre cinématographique, est passé relativement inaperçu, mais il sera bientôt à visionner en vidéo à la demande.

Après le livre, le restaurant, pour une grande occasion, celui de l’enseigne mère ! Je n’irai pas par quatre chemins, ce déjeuner chez Pierre Gagnaire m’a autant éblouie par ce qu’il m’a été donné de déguster, que par lui-même et sa chaleureuse simplicité. La générosité des grands, en somme.

La truculence de notre regretté Jean-Pierre Coffe national, qui défendait les bons produits et la cuisine traditionnelle, reste inoubliable. Toute son œuvre défend les valeurs auxquelles il croyait mordicus. J’ai retenu deux de ses ouvrages qui devraient figurer dans toutes les bonnes bibliothèque culinaires : “Recevoir ses amis à petits prix”, qui vous aide à vraiment vous régaler pour moins de 5 euros par personne, calculette en main, et “SOS Cuisine”, qui rassemble les modes de préparation de la plupart des ingrédients.

Voici le best-of des recettes vraiment simples, rapides qui ne demandent que très peu d’ingrédients, peu d’instruments et aucune habileté particulière, mais qui remportent toujours un franc succès grâce à un petit effort de présentation. Faites-moi confiance.

Rien n’est plus déroutant que la mesure de l’audience d’un site lancé avec la seule conviction que c’est celui que, soi-même, l’on voudrait voir exister.
Mais comment savoir si c’est ce que les autres internautes souhaitent ? Alors, le mieux, c’est de m’adresser à vous pour que vous me disiez ce que vous attendez d’un site comme Mariatotal.

Depuis 1956, Astier est une institution parisienne qui porte haut les couleurs de la cuisine française traditionnelle et fait exploser notre taux de cholestérol ! Je connaissais Astier depuis bien longtemps avant qu’il ne soit repris, en 2006, par Frédéric Hubig-Schall, qui possède déjà ses restaurants voisins Sassotondo et Jeanne A, entre la place de la République et Oberkampf. Astier, c’est le bistrot au sens noble du terme, avec ses nappes à carreaux, son mobilier authentiquement rétro et sa cuisine française du terroir.

Vous êtes des adeptes des voyages en logeant via Airbnb ? Ou de tout type de location ? Y a-t-il sur place tout le matériel nécessaire pour vous adonner à la confection de vos petits plats favoris ? Pas de panique, Mariatotal, en 2016, a commencé à faire le point de ses recettes qui ne demandent qu’un minimum de matériel. Les revoici pour rappel, bien sûr, mais remises à jour en fonction des dernières recettes en ligne.
Régalez-vous cet été !

C’est vrai, où sont-elles ? On ne peut nier que, hormis Ghislaine Arabian ou Hélène Darroze, avant Anne-Sophie Pic, peu de femmes chefs sont médiatisées. Ce remarquable documentaire, aux très belles images, tente de nous donner un début d’explication à ce phénomène. Les femmes resteraient-elles à la cuisine ? Un excellent reportage à ne pas manquer.

Depuis le temps que je vous cuisine les recettes issues de cet ouvrage, il est temps de vous le présenter. Certes, les ingrédients suggérés sont ceux que vend cette belle maison Plisson, mais il est facile de les reconstituer. Si vous avez néanmoins le temps de “magasiner” du côté de la Bastille, à Paris, allez admirer cette épicerie où l’amabilité le dispute à la qualité des articles.

Pourquoi La Scène Thélème ? C’est un clin d’œil à tous les épicuriens et à l’utopie chère à Rabelais, à l’Abbaye de Thèlème qui fut le refuge des bons vivants de tous bords. Rue Troyon, à deux pas de l’Étoile, son chef Pierre Rigothier a pris la succession de Guy Savoy, parti œuvrer à la Monnaie de Paris. La décoration a, semble-t-il, été considérablement été transformée pour prendre une allure quasi-monacale un peu déroutante. En revanche, l’accueil y est chaleureux et tout le monde est aux petits soins pour rendre ce moment mémorable.

LE Drugstore, autrement dit le restaurant du mythique drugstore Publicis des Champs-Élysées, a rouvert ce 23 mai, grâce au chef triplement étoilé, Éric Frechon, dont voici la dernière adresse. On y retrouve le décor et l’esprit années soixante-dix, en mieux, et une carte dont Éric Frechon a le secret, dans laquelle on retrouve ses marottes. Pour notre plus grand plaisir.

Mes proches savent combien je suis attachée à Copenhague et combien cette maison du Danemark, aux Champs-Élysées, m’est chère. Mais nul besoin d’avoir une histoire personnelle avec ce pays pour y apprécier ses bons produits et la qualité du design scandinave et y fêter le printemps et la vie.