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Chers amis du bout du monde,

Je vous plains. Il vous faudra sans doute attendre plusieurs mois avant de déguster Les Saveurs du Palais, de Christian Vincent, magnifiquement interprété par Catherine Frot, et le séduisant Jean d’Ormesson, en formidable François Mitterrand.

Pendant les vacances, le magasin est resté ouvert et Mariatotal a assuré un service minimum pour vous donner encore quelques idées et vous faire un peu saliver.

Que vous soyez ou non en vacances, la composition et l’esprit de vos menus changent en cette période, autant du fait de la saison elle-même, que de l’ambiance et de la convivialité qu’elle engendre.

Et le beurre, alors, que faut-il en penser ? En bonne demi-Charentaise, je n’envisage même pas de m’en passer. De là à le mettre à toutes les sauces… car l’huile d’olive fait autant partie de mes bases.

Si vous aimez la maison mère, Le Repaire de Cartouche (8, boulevard des Filles du Calvaire et 99, rue Amelot, Paris XI^e) de Rodolphe Paquin, ne manquez pas son “annexe”, dirigée par son associé, le Cartouche Café, à deux pas de la Cinémathèque française.

Avez-vous noté que, parmi les blogs culinaires, un grand nombre est plus particulièrement consacré à la pâtisserie et aux sucreries? Évidemment, nous en sommes tous friands, mais, à l’approche de l’été, nous sommes également tous conscients que les kilos sont l’ennemi à abattre…

Cuisiner à la maison, avec Ferran Adrià

traduit de l’anglais par Claire Teeuwissen et préfacé par Françoise Collin

Vous emportez, dans le train, quelques victuailles pour votre week-end… Ou vous en rapportez. Un sac isotherme est vraiment trop encombrant dans vos bagages légers.

Si vous avez la chance de voyager en Sicile, vous serez séduits, en premier lieu bien sûr, par la lumière, la clarté de la mer et sa richesse archéologique. Mais les Mariatotalonautes, parcourront les marchés pour toucher de plus près tous ces ingrédients déjà connus, certes, mais dans “leur jus”…

De retour à Lyon, si le temps s’y prête, arpentez la ville à pied et consacrez une journée aux trésors du parc de la Tête d’Or pour, sur 117 hectares, pour admirer les serres de Madagascar, les flamands roses, les girafes, les biches, etc. Au bout, en sortant du parc, vous trouverez le nouveau musée d’art contemporain.

À la musique, sans qui la vie serait une erreur…”. Voilà comme Eddy Mitchell dédicace son livre d’entretiens *. Tantôt elle nous émeut aux larmes, tantôt elle nous met en joie, la musique devrait exalter nos émotions.

Du 7 au 11 mars 2012 s’est tenu le Festival du livre culinaire, au 104 (104, rue d’Aubervilliers) à Paris. Un festival à surveiller pour les années suivantes.

Je ne l’ai pas inventé, mais ça marche ! Vous pouvez même le faire avec votre sucre de canne, il deviendra blanc.

Chartier, c’est une véritable institution… J’ai commencé y aller à la fin des années soixante-dix, sur les conseils du “Guide du Paris pas cher”.

C’est une réalité, vous découvrirez le goût insatiable des Lyonnais pour la bonne chère. À tous les coins de rue se trouvent un pâtissier, un confiseur, un traiteur ou une épicerie fine. À toute heure, les restaurants, les brasseries, les “tartines”, les fameux bouchons ne désemplissent pas.

Parmi les “bouchons” lyonnais, tous aussi prisés les uns que les autres, réservez au Musée, qui tire son nom de sa proximité du musée de l’Imprimerie et de l’hôtel de ville. Luc Minaire et son épouse, secondés par Loïc Boyer, qui a fait ses classes auprès de grandes tables, ont repris ce Musée en 2004.

Quelles que soient les expositions du moment, les collections permanentes et l’architecture du musée d’Orsay sont toujours un ravissement…

Une lapalissade : en hiver, il fait froid ! Mais cette année, il nous a surpris par son retard autant que par sa rigueur.

Chaque jour, ou presque, la faculté nous met en garde contre la nocivité du sel. Ce “tueur silencieux” serait la cause de nombreux accidents cardio-vasculaires. Sans même parler des dommages qu’il causerait au bon fonctionnement du foie et des reins…

À deux pas de la place Gambetta, vous serez subjugué par ce décor et cette ambiance années soixante, en hommage à Charlotte Perriand, et quelques authentiques meubles de la célèbre architecte.

Il s’adresse à tous, même aux non-cuisiniers, du moment qu’ils goûtent aux joies de la table et cultivent la convivialité.

Vous avez déjà vu cet instrument… Eh bien, si, il est utile ! Et réjouira petits et grands.

Un classique et un luxe… pour déguster un délicieux en-cas, au calme et en amoureux, l’endroit vaut cette folie.