La prune : le fruit du mois d’août
Produits de saison - 31 juil. 24
La prune est un fruit à noyau (une drupe), à chair sucrée et juteuse, à la couleur qui varie du jaune clair au violet foncé, avec souvent un voile blanchâtre, la pruine. De forme sphérique, plus ou moins oblongue, elle est produite par des arbres classés dans le genre botanique nommé “prunus”. Le terme de prune, en France, se réfère principalement aux prunes européennes comme la reine-claude, les mirabelles, les quetsches ou encore le pruneau d’Agen qui poussent toutes sur des pruniers domestiques.
Le prunier est un arbre plutôt robuste : il résiste très bien au froid et pousse aussi bien au froid nord qu’au sud. Selon l’espèce, sa durée de vie va de vingt à cinquante ans. Les premières fleurs apparaissent au début du printemps, mais il faut attendre la chaleur de juillet avant de cueillir les premiers fruits. Les variétés les plus tardives peuvent même se faire désirer jusqu’en septembre.
Les variétés de prunes
On ne connaît pas l’origine exacte du prunier que l’on cultive aujourd’hui en France (le prunier domestique). Il semblerait, cependant, que celui-ci soit issu d’un croisement entre plusieurs espèces européennes et asiatiques datant de plusieurs milliers d’années.
Les horticulteurs ont permis d’obtenir plus de 400 variétés de prunes à travers le monde.
En France, il en existe trois principales : les charnues reines-claudes (29%), les petites mirabelles (15%) et les quetsches ovales (5%).
Notez l’existence de deux labels rouges en France : la reine-claude Doret en Midi-Pyrénées et la mirabelle de Lorraine.
• Les reines-claudes, souvent appelées prunes vertes, sont douces et parfumées, ce qui lui vaut le surnom de reine des prunes. On les aime pour leur goût sucré et leur chair tendre. Elles sont considérées comme les meilleures prunes de bouche. Les reines-claudes sont tout indiquées pour la consommation fraîche, mais elles sont aussi utilisées en pâtisserie et pour des conserves qui préservent leur délicieuse saveur.
La reine-claude remonte au XVIe siècle et doit son nom à la reine Claude de France, épouse de François Ier. Le prunier Reine-claude est un arbre vigoureux, avec une bonne production, mais sujet à l’alternance (il produit bien une année sur deux).
On distingue la reine-claude d’Oullins, ronde, jaune à verdâtre (mûre quinze jours avant la reine-claude verte), de la reine-claude verte ou dorée, jaune ou verte selon les stades de maturité, qui fait l’objet d’un label rouge, très sucrée, peu acide et bien juteuse avec d’exceptionnelles qualités gustatives et de la reine-claude de Bavay, à la chair vert-jaune, ferme, juteuse et assez sucrée, peu acide, avec le noyau semi-adhérent. La reine-claude de Bavay reste néanmoins a privilégier pour le sud de la France, car elle a besoin de chaleur pour arriver à maturité. La reine-claude violette, à la peau rouge violacé, est couverte de pruine aux reflets bleus. La chair vert-jaunâtre est ferme, sucrée, juteuse et parfumée.
Existent aussi la reine-claude d’Althan, le reine-claude de Chambourcy, la reine-claude Diaphane, la reine-claude de Moissac…
• Les mirabelles sont une variété de prunes très appréciée, réputée pour ses petits fruits ronds et jaunes, à la saveur douce et sucrée. Elles sont idéales pour une consommation fraîche, mais sont également prisées pour la fabrication de confitures, de tartes et de schnaps.
La Mirabelle de Lorraine, dorée et délicate, à chair ferme et sucrée, incarne l’excellence de la culture des prunes en France. Cultivée depuis le XVe siècle, elle a obtenu l’appellation d’origine contrôlée (AOC) en 1996, garantissant son authenticité. Sa production est abondante, voire surabondante.
• La prune d’Ente, est souvent utilisée pour sécher et produire des pruneaux grâce à leur taux de sucre élevé.Sa chair est ferme, avec un goût plus intense que les autres variétés de prunes. Sa richesse en saveur en fait un choix populaire pour les desserts, les confitures et même pour accompagner des plats salés.
La prune d’Ente est un fruit de taille moyenne, plutôt arrondi, orange à rouge violacé, à chair juteuse, fine et tendre, très sucrée, de couleur jaune vert. C’est elle qui donne le fameux pruneau d’Agen. Elle se prête donc à la préparation de fruits séchés (long séchage au four à basse température), mais aussi de confitures. Elle est mûre fin août. L’arbre tolère tous les sols, sauf s’ils sont trop argileux.
Notez que, pour bénéficier de l’indication géographique protégée IGP, elle doit être récoltée dans le bassin de production qui s’étend sur 118 cantons répartis dans six départements du Sud-Ouest : le Lot-et-Garonne (deux tiers de la production), la Dordogne, la Gironde, le Tarn-et-Garonne, le Gers et le Lot.
• La quetsche d’Alsace, aussi appelées prunes bleues, se distinguent par leur couleur violette caractéristique. On les aime pour leur goût sucré et leur peau fine. Elles sont souvent utilisées pour de délicieuses tartes et des confitures, mais, fraîches, elles sont aussi excellentes.
La quetsche d’Alsace ou quetsche commune produit des prunes violettes foncées au goût légèrement acidulé, ce qui en fait un choix favori pour les tartes et les confitures. Cette variété a des racines anciennes en Alsace, une région qui en est particulièrement fière.
• La prune Bonne de Bry, aussi appelée Belle de Paris, est un excellent fruit de table. Malgré sa petit taille, c’est un concentré de saveurs. La production de ce prunier, qui commence en mi-juillet, est abondante.
• La prune Anna Spath, variété de Hongrie, a été introduite en 1870 par M. Späth à Berlin. La Anna Spath a la chair ferme, sucrée, juteuse et très parfumée. De maturité tardive, à la mi-septembre, elle est idéale pour prolonger la saison.
Les prunes américano-japonaises
• La quetsche Stanley ressemble à notre quetsche d’Alsace. Elle est la plus cultivée dans le monde et offre de gros fruits bleu violacés, ovales, à chair jaune, peu juteuse, mais ferme et bien sucrée. Ses fruits, récoltés mi-septembre, se dégustent comme fruits de table ou s’utilisent pour l’élaboration de fruits séchés (pruneaux).
Le prunier Stanley est connu pour sa vigueur et sa productivité. Producteur de prunes de table ou de séchage, il offre de nombreux avantages et une bonne résistance aux maladies. Ses fruits bleu-noir sont de belle taille, allongés et sucrés.
• Les prunes japonaises, se distinguent par leur goût sucré et parfois légèrement acidulé, ainsi que par leur chair ferme. Elles sont idéales pour une consommation fraîche et sont de plus en plus prisées dans le monde entier pour leur saveur unique.
Le prunier japonais (prunus salicina) est un arbre fruitier originaire de Chine. Il a été importé à la fin du IIIe siècle. Au Japon, le fruit du prunier japonais est appelé Ume. Aimant les climats chauds, ce prunier s’est également acclimaté avec succès au sud de la France, notamment en Ariège. Ce prunier, bien adapté aux climats chauds, est devenu une ressource précieuse pour les producteurs locaux et les jardins familiaux.
Cinq variétés de pruniers japonais adaptées au climat du sud de la France
La plupart des pruniers japonais sont dits auto-stériles : les fleurs ne peuvent pas se féconder elles-mêmes, la pollinisation croisée est donc indispensable. C’est pourquoi la présence d’autres variétés de pruniers japonais ou européens à proximité est nécessaire.
• La prune Shiro ou Golden Japan est réputée pour sa belle taille. Les prunes Shiro sont de couleur jaune doré, douces, juteuses et légèrement acidulées, ce qui les rend idéales pour une utilisation en cuisine et en pâtisserie. Elles sont également excellentes fraîches, en conserve ou pour la préparation de confitures. Elles arrivent parmi les premières à maturité sous nos climats, dès juillet. L’arbre est très productif.
• La Santa Rosa, violette, a une chair sucrée et parfumée, avec une saveur légèrement acidulée. Les prunes Santa Rosa sont polyvalentes et peuvent être utilisées pour être mangées fraîches, en compote ou en conserve.
• La Metley, de taille moyenne, à peau rouge foncé, est appréciée pour sa chair sucrée et juteuse, offrant une saveur exquise. Les prunes Metley sont excellentes pour la consommation fraîche, la préparation de confitures et même la production de prunes séchées.
• L’Ozark Premier est une variété de prune japonaise originaire des États-Unis : un hybride entre les variétés Metley et Burbank, qui s’adapte à toutes les régions. Elle aime les sols sablo-limoneux et sans calcaire, et préfère une exposition ensoleillée. Ces fruits sont de couleur orange vif avec des notes de jaune, une chair juteuse et sucrée et sont excellentes à consommer fraîches.
• La prune Black Amber a des fruits de gros calibre, de violets à noirs, de forme ronde légèrement aplatie, avec une chair de jaunâtre à rouge ; le noyau est adhérent. Ferme et juteuse, elle est moyennement sucrée et acidulée et se déguste surtout comme fruit de bouche. Elle arrive à maturité en août et l’arbre, parfait pour les petits jardins, reste compact. On peut cultiver ce prunier en bac et il est, en outre, adapté aux climats frais.
Les bienfaits des prunes
Ces fruits désaltérants et vitaminés apportent de multiples bienfaits pour notre santé. Les prunes sont riches en antioxydants, favorisant l’élimination et permettent de nettoyer notre corps des toxines.
En dépit de leur goût sucré, les nombreuses variétés de prunes sont légères et peu caloriques. Leur consommation peut permettre de participer à la réhydratation de notre corps. Toutes les variétés de prunes sont particulièrement riches en oligo-éléments et en minéraux. Ainsi, elles participent de manière non négligeable à notre apport en potassium, cuivre, phosphore, fer et magnésium. Elles sont aussi un des fruits les plus riches en fibres.
La production de prunes
En France, les variétés de prunes les plus produites sont les reines-claudes, les mirabelles et les quetsches, sans oublier les pruneaux.
Près de 175 000 tonnes de prunes sont produites en France (toutes espèces confondues). Les variétés principales sont les prunes à pruneaux, puis viennent les reines-claudes, les mirabelles et les quetsches. La production concerne majoritairement la prune à pruneaux, essentiellement récoltée dans le Sud-Ouest (Aquitaine). La prune de table représente pour sa part environ 62 000 tonnes récoltées en moyenne. Elle se répartit entre variétés de reines-claudes et variétés américano-japonaises dans le Sud-Ouest, mais aussi dans le Sud-Est. L’est du pays (Alsace-Lorraine) est spécialisé dans la production de mirabelles et de quetsches, destinées majoritairement à la transformation.
La consommation de prunes fraîches est de l’ordre de 0,6 kg par personne et par an, près de 40% des ménages en achetant au moins une fois dans l’année.
La production de l’Union européenne à 27 s’élève à près d’1,6 million de tonnes. En Europe de l’Est (Roumanie, Serbie…), la production est importante, mais très souvent consacrée à la fabrication d’eau-de-vie et à d’autres transformations. L’Italie a récemment pris la place de premier producteur européen de prunes de table, en raison d’une contraction de la production espagnole ces dernières années. L’Espagne reste néanmoins le premier intervenant sur le marché européen, plus de la moitié de sa production étant exportée.
Conserver et cuisiner la prune
Les prunes fraîches ne se conservent pas très longtemps, une semaine dans le bac à légumes du réfrigérateur ou dans une cave. Laissez la pruine sur les fruits, cette fine pellicule aide à la conservation : Ce sont des paillettes de cire que le fruit produit pour se protéger des agressions extérieures, comme la chaleur.
Vous pouvez conserver les prunes sous vide pour les garder plus longtemps au réfrigérateur (de deux à trois semaines) comme au congélateur (vingt-quatre mois).
Sinon, cuisez-les ou cuisinez des tartes.
Les recettes aux prunes de Mariatotal
• Saucisses et prunes rôties à l’aigre-douce Une recette signée Yotam Ottolenghi, intitulée “sticky sweet-and-sour plums and sausages” ou, littéralement, “prunes et saucisses collantes aigres-douces”. Aussi surprenant que cela puisse sembler, c’est un régal, ne passez pas à côté.
• Tarte rustique aux reines-claudes , une tarte sans moule, absolument délicieuse.
• Tarte aux prunes sur confit de poivrons pimenté Une compil de plusieurs recettes qui donnent un résultat remarquable.
• Gratin de quetsches Entre clafoutis et vrai gratin, pour utiliser des fruits dans un dessert sans pâte à tarte.
• Gâteau Bérénice aux reines-claudes Ce gâteau s’adapte à tous les fruits, mais il est particulièrement réussi avec des reines-claudes.
• Poivrons confits aux prunes Une utilisation originale des poivrons en dessert, grâce à Pierre Gagnaire.
[Sources : wikipedia.com ; ctifl.fr ; lesfruitsetlegumesfrais.com ; gerbeaud.com ; aucoindufruit.fr]
Les fruits d’août
• La figue est un faux fruit : ses fleurs emprisonnées ne peuvent être fécondées sans intervention extérieure. On les classifie en figues vertes (ou blanches), les figues grises (ou rouges) et les figues noires (ou violettes).
• La framboise. Son nom serait issu de la déformation de “fraise des bois”. La pleine saison de la framboise s’étend de juillet à août. Fruit fragile et délicat, la framboise a un parfum exceptionnel, une saveur sucrée avec, parfois, une pointe d’acidité. Elle est très riche en minéraux (magnésium, calcium, fer) et antioxydants, et en vitamine C.
• Le melon n’est pas un fruit malgré son parfum sucré. Il appartient à la famille des cucurbitacées, comme la courgette ou le potiron. Sa pleine saison s’étend de juillet à septembre. Bon à savoir : il stimule la production de sérotonine, un neurotransmetteur responsable de l’apaisement.
• La mûre ou mûron (“meuron” en Suisse romande, en Savoie et dans les Hauts-de-France), est un fruit rouge (bien que noir à maturité) de la famille des rosacées, comme le framboisier. Sucrée, la mûre est un faux fruit car elle n’est pas issue du pistil de la fleur, mais formée de l’agrégation des carpelles modifiées et transformées en petites drupes (drupéoles). Pour une confiture sans pépins, passez les fruits à ébullition dans un moulin à légumes, grille fine.
• La myrtille est une baie bleu violacé à la saveur douce et légèrement sucrée, renfermant des composants au fort pouvoir antioxydant. Il faut distinguer les myrtilles (bleues et plutôt sucrées) des airelles (rouges et plutôt acidulées). Attention si vous cueillez des myrtilles sauvages à ne pas contracter une échinococcose alvéolaire due aux déjections de renards ou de chiens.
• La nectarine. Blanche, jaune ou sanguine, juteuse et sucrée, cette cousine du brugnon se consomme idéalement entre juin et septembre. C’est une variété de pêche, mais à peau lisse (qui ne nécessite pas d’épluchage). Son noyau se sépare facilement de sa chair (contrairement au brugnon). Elle est très riche en fibres et une forte teneur en vitamine C.
• La pastèque, fruit d’été par excellence, est gorgée d’eau à près de 95%. Elle est donc très désaltérante et très appréciée sous la chaleur. Très peu calorique, elle est particulièrement bonne broyée en jus.
• La pêche. Ce fruit à noyau, star de l’été, est arrivé de Chine en France en passant par la Perse. Le pêcher est cultivé depuis le VIe siècle. Préférez-vous les pêches à chair jaune, blanche (délicieusement acidulée) ou sanguine (la pêche de vigne) ? Ou en pêche Melba, inventée en 1899 par le cuisinier Auguste Escoffier ?
Et aussi…
la poire d’été, la groseille…
Les légumes d’août
• L’aubergine. La pleine saison se situe de juin à septembre, mais la chaleur d’août la sublime. Préférez un légume de petit ou de moyen calibre : la chair de l’aubergine sera plus dense et la cuisson plus homogène.
• L’artichaut. Le Camus breton se déguste plutôt cuit à la vapeur, alors que Le Violet de Provence est excellent cru avec une pointe de vinaigrette.
• La betterave rouge. À déguster cuite, en bouillon (essayez le bortsch polonais), ou crue, émincée à la mandoline.
• Le brocoli est une variété de chou originaire de Sicile. Habituellement de couleur vert foncé à vert sauge, le brocoli peut aussi être blanc ou pourpre (violacé). On consomme les fleurs en boutons, ou tout juste fleuries, ainsi que les tiges encore tendres.
• La courgette est à choisir, de préférence, bio pour consommer sa peau. Comme l’aubergine, elle entre dans la ratatouille et de multiples potages et préparations. La courgette ronde fait partie des délicieux petits farcis niçois.
• Le fenouil, cru (émincé à la mandoline) ou cuit, fait son retour en cuisine dès le mois de mai. Originaire du bassin méditerranéen, ce légume s’est imposé en France avec son goût anisé qui convient très bien aux poissons.
• Les haricots verts. On trouve le haricot “filet”, fin, ou le “mange-tout”, charnu et gourmand, ou encore le “haricot beurre” (couleur jaune beurre), plus fondant. La France est le premier producteur européen avec 341.685 tonnes produites en 2019.
• Le maïs est en réalité à mi-chemin entre une céréale et un légume de part sa composition. À consommer en épi frais plutôt qu’en boite, c’est une source de phosphore et de magnésium.
• La tomate, star de l’été, c’est le légume-fruit le plus consommé de France (en légume), est sur les étals depuis mars, mais elle commence tout juste en juillet à montrer ses réelles qualités gustatives. Les tomates rouges sont les plus souvent utilisées, mais d’autres de couleurs différentes peuvent également égayer vos salades printanières et estivales.
Et aussi…
la blette, le céleri branche, le concombre, le fenouil, les petits pois, le radis…
… les poissons et fruits de mer à déguster ce mois-ci
Les poissons de mer
- L’anchois
- Le bar
- La barbue
- Le cabillaud (mais préférez de février à mai)
- La cardine franche (mais préférez de mars à mai)
- Le carrelet ou la plie (mais préférez de janvier à mai)
- Le chinchard
- Le colin ou le merlu
- La dorade (mais préférez de janvier à mai et d’octobre à décembre)
- L’églefin ou aiglefin (mais préférez de janvier à mai et de septembre à décembre)
- Le flétan
- Le grenadier
- Le grondin rouge
- Le hareng (mais préférez novembre et décembre)
- La julienne
- Le lieu jaune ou noir (mais préférez février et mars)
- La limande-sole
- La lingue
- La lotte (mais préférez de février à mai)
- Le loup ou bar
- Le maigre
- Le maquereau
- Le merlan (préférez de janvier à mars)
- Le merlu ou colin
- La raie (mais préférez de janvier à juin et octobre)
- La roussette (mais préférez de septembre à décembre)
- Le saint-pierre
- Le sar
- La sardine
- Le saumon
- La sébaste
- La sole (mais préférez de février à avril)
- Le tacaud (mais préférez de janvier à mars)
- La tanche
- Le thon albacore et germon
- Le turbot (mais préférez de mars à juillet)
Les poissons d’eau douce
- L’anguille
- Le brochet
- Le gardon
- Le goujon
- L’omble-chevalier
- L’ombre commun
- Le sandre
- Le saumon de fontaine
- La truite
- La truite fario (saumonée)
Les crustacés
- L’araignée mâle et femelle
- La crevette rose
- L’étrille
- Le homard
- La langouste femelle
- La langoustine glacée
- Le tourteau
Les coquillages
- Le bulot
- Le clams
- La moules de bouchot
- Le vernis