Salade Panta rhei
Préparation : 15 min Cuisson : 3 min
Pour 4 personnes
- Salade verte (roquette, feuilles de chêne, etc.) : environ 150 grammes
- Tomates bien mûres : 4
- Tomates séchées à l’huile : 20
- Fromage frais de type ricotta ou cottage cheese : 200 grammes
- Pignons de pin : 50 grammes
- Grains de grenade : 100 grammes
- Huile d’olive : 2 cuillerées à soupe
- Vinaigre balsamique : 2 cuillerées à soupe
- Miel liquide (acacia ou caroube) : 1 cuillerée à soupe
“Panta rhei” (Πάντα ῥεῖ), en grec ancien, signifie littéralement “toutes les choses coulent”, dans le sens de “tout passe”. “Panta rhei” synthétise pour Héraclite (540-480 avant J.-C.) la pensée d’un monde en mouvement perpétuel où toute chose se meut et où rien n’est stable. C’est le nom donné à une salade dégustée en Grèce, sur l’île d’Égine. Mais sans doute, cette salade n’est-elle pas figée et ses composants peuvent-ils varier, si j’en juge par son nom.
Faites dorer les pignons de pin dans une petite poêle antiadhésive en les surveillant (ils brûlent sans crier gare).
Réservez.Répartissez la salade verte entre 4 grandes assiettes.
Vous pouvez aussi ajouter quelques rondelles de concombre.Rincez et séchez les tomates (les miennes, des cornues, avaient été cultivées dans un jardin, c’est dire la qualité de leur pulpe) et coupez-les en morceaux assez grossiers.
Normalement, il faut prendre des tomates cerises coupées en deux. Comptez-en environ 6 par personne.
Répartissez-les dans les assiettes, ainsi que les tomates séchées.
Arrosez d’un peu d’huile d’olive.Déposez au milieu du fromage en le répandant un peu.
Parsemez les pignons de pin et les graines de grenade.Mélangez, dans une tasse, le vinaigre balsamique avec le miel et arrosez le fromage et un peu sur la salade de cette sauce.
En fait, dans les ingrédients de la salade, on met du mile de caroube. J’en ai déjà acheté chez un traiteur portugais. C’est très particulier, mais se prête bien à cette salade.
Servez.