Flan parisien
Préparation : 25 min Cuisson : 30 min
Pour 6 à 8 personnes
Pâte brisée
- Farine : 150 grammes
- Beurre mou : 75 grammes
- Huile (de pépins de raisins) : 1 cuillerée à soupe
- Eau : 10 centilitres
- Sel : 1 pincée
Garniture
- Œufs : 3 jaunes
- Fécule de maïs (Maïzena) : 90 grammes
- Sucre semoule : 125 grammes
- Lait entier : 80 centilitres
- Crème fraîche : 20 centilitres
- Vanille : 1 gousse
Papier sulfurisé
Un moule à tarte ou à manqué rigide de 24 centimètres de diamètre
Dans la famille des pâtisseries archi-classiques des goûters d’enfance, je demande le flan pâtissier (ou parisien). Il n’a de pâtissier que le nom parce qu’en fait, on le trouve chez la plupart des boulangers… Fait maison, il aura quelque chose de plus.
Faites une pâte brisée, roulez-la en boule et gardez-la en attente au frais.
Portez le lait et la crème à ébullition avec la vanille fendue. Dès le premier bouillon, arrêtez le feu et couvrez pour laisser infuser la vanille pendant quelques minutes.
Mélangez le sucre et la fécule, puis les jaunes d’œufs. Mélangez bien.
Grattez la vanille au-dessus du lait et de la crème, versez ce mélange ensemble sur les œufs sucrés et fouettez bien le tout.
Préchauffez le four à 180°C (thermostat 6).
Remettez le mélange aux œufs sur feu doux et faites épaissir le tout. Dès l’ébullition, laissez encore cuire 30 secondes.
Retirez du feu et fouettez bien pendant que la crème tiédit un peu.Chemisez le moule à tarte avec le papier sulfurisé. Étalez assez finement la pâte et garnissez-en le moule.
Versez la crème épaissie dans le fond de tarte et faites cuire 30 à 35 minutes au four jusqu’à ce que la surface brunisse.
Retirez le flan du four et laissez-le refroidir avant de le placer au réfrigérateur.
Démoulez et servez le lendemain.
“Plus le flan est épais, meilleur il est, veillez à ce que les bords du moule soient assez hauts et qu’il soit bien rempli de crème. D’où l’option du moule à manqué.”
“Pour un flan plus léger, ne prenez que du lait (1 litre), sans crème fraîche, mais du lait entier quand même…”